Théâtre parisien privé à Jules Joffrin qui met en scène des créations originales et émergentes 🎭
On pourrait vous parler de nos de nos triomphes, de nos échecs, de nos tournois de ping-pong, de nos Molières, de notre équipe de dingue… mais on préfère que vous découvriez nos spectacles car notre seule ligne éditoriale c’est la création originale et l’émergence. Alors Bienvenue chez nous, faites comme chez vous !
Tarifs :
– 36 / 40 € : tarif unique / 18 € : pour les habitants du 18ème (uniquement le jour même, par téléphone à partir de 12h30 ou au guichet en fonction des places disponibles).
– 10 € : – de 26ans (uniquement le jour même, par téléphone à partir de 12h30 ou au guichet en fonction des places disponibles.
Réservation par téléphone (paiement VAD) au 01 42 62 35 00 du mardi au dimanche à partir de 13h00.
Réservation au Guichet (1h avant le début des représentations).
Réservations sur notre billetterie en ligne (majorées de 1 euro).
RETROUVEZ TOUTE NOTRE PROGRAMMATION ET NOS TARIFS PROMOTIONNELS SUR www.theatredesbeliersparisiens.com
– LE POINT DE VUE DE LA RÉDAC’ –
A deux pas de la Mairie du 18e et de la rue Versigny, le Théâtre des Béliers Parisiens a su s’imposer parmi les théâtres privés qui comptent actuellement. Depuis son ouverture en 2012, il enchaîne les succès, et contribue au dynamisme grandissant du quartier Jules Jo. Retour sur l’histoire de ce lieu qui a définitivement tout d’un grand.
Derrière les Béliers il y a d’abord quatre associés : Florent Bruneau, Arthur Jugnot, Frédéric Thibault et David Roussel, d’abord producteurs de spectacles qui, en 2006 reprennent le théâtre des Béliers à Avignon. Fort de leur succès dans le Sud, ils se mettent en quête d’une salle à Paris et rachètent en 2012 le Sudden Théâtre à Raymond Acquaviva. Historiquement, il s’agissait d’un espace de stockage de fruits et de légumes, avant qu’un homme politique connu et maire du 18e arrondissement ne reprenne le lieu pour y créer un théâtre pour son épouse !
A l’époque, le bâtiment sur rue, n’existait pas, et la façade, avec son petit côté années 30, date en réalité des années 90. Raymond Acquaviva l’avait acheté pour y produire les spectacles de son école. Et bien qu’il n’en soit plus propriétaire, il continue d’y donner ses cours et d’y jouer ses spectacles le lundi soir.
D’une capacité de près de 200 places, il s’agit surtout d’un des plus grands plateaux de théâtre de la capitale. C’est aussi ce qui a convaincu nos quatre complices de s’y installer, la configuration du lieu permettant d’envisager de vraies scénographies avec des décors d’envergure. Ils y ont d’abord organisé un « bestival » de tous les spectacles joués à Avignon, avant d’y proposer de nouvelles pièces. Et comme les garçons ont du flair (et du talent), les succès se sont enchainés Citons par exemple les comédies de Clément Michel, « Les 39 Marches » mis en scène par Eric Métayer, « Les Crapauds Fous » et « La Course des Géants » de Mélody Mourey, ou encore « Le Cercle des Illusionnistes » et « Le Porteur d’Histoire » d’Alexis Michalik, à l’affiche durant près de 10 ans !
Car c’est aussi la particularité du Théâtre des Béliers Parisiens : donner le temps aux spectacles de trouver leur public, et leur permettre ensuite de rester programmé en cas de succès. « Nous sommes aujourd’hui producteurs de tous les spectacles ici, donc tant qu’ils fonctionnent, on prolonge ». Entre quatre et cinq pièces se retrouvent ainsi chaque année à l’affiche, pour le plus grand plaisir d’un public plutôt jeune, assez fidèle, très réactif et bien souvent du quartier ! « Il faut dire qu’on a beaucoup travaillé la vente directe, les meilleurs tarifs étant accessibles sur notre site et pas sur les grosses plateformes ».
Résultat, après avoir été « testées » à Avignon, la majorité des pièces jouées à Paris font salle comble, avant de partir plus tard en tournée. « Tous les styles de théâtre ont leur place aux Béliers, et nous recevons beaucoup de dossiers. Mais c’est vrai qu’on travaille aussi avec un vivier d’auteurs que l’on connaît bien. Ce qu’on aime avant tout, c’est raconter des histoires ».
Depuis bientôt un an, c’est Big Mother, le thriller politique de Mélody Mourey, qui est à l’affiche rue Saint-Isaure. Je m’appelle Asher Lev, adaptation française de la pièce à succès tirée du roman de Chaïm Potok, est également bien parti pour être prolongé au moins jusqu’à l’été. Quant à la prochaine création des Béliers, on sait déjà qu’il s’agira plutôt d’une comédie. Désormais, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas que vous aviez l’un des théâtres les plus tendance de Paris à deux pas de chez vous.
Retrouvez toute la programmation du Théâtre des Béliers Parisiens sur Montmartre Addict
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